Calendrier perpétuel à doubles codifications annuelles et à transformation globale La présente invention est un dispositif de calendrier perpétuel permettant d'effectuer la transformation globale et immédiate de la lecture du calendrier complet d'une année quelconque, indifféremment en celle d'une autre ou de toutes les autres années, présente, passées ou futures, dans les modes Julien ou Grégorien, en restituant à chacun des jours, le nom qu'il porte.
Il existe des systèmes de calendriers perpétuels permettant d'accéder au résultat escompté, par reports successifs de codifications acquises dans plusieurs tableaux mis en relation entre eux. Certains systèmes facilitent ces reports en combinant les codifications de plusieurs tableaux au moyen de réglettes de repérage. D'une manière générale, la recherche du nom des jours s'effectue ponctuellement à partir de quantièmes déterminés et ne permet pas d'aboutir à la lecture globale de l'ensemble d'une année quelconque.
Le dispositif de l'invention se singularise en ce qu'il utilise un principe d'identification globale de chaque année qui permet, grâce à une double codification, d'établir sa mise en relation directe, sans calcul ni opération intermédiaire, avec l'ensemble des jours qui la constituent. Il permet ainsi d'établir le détail des jours et des fêtes fixes qui composent une année quelconque et d'en effectuer la lecture complète, dans leur ordre naturel ou dans un ordre indifférent. Il donne aussi, par mémorisation de plusieurs codes, la possibilité d'effectuer la lecture simultanée de plusieurs années différentes. Les sept noms des jours de la semaine se perpétuant suivant la base arithmétique "7", les éléments de cette base ont été codifiés pour pouvoir identifier et faire se correspondre les années avec les noms des jours qui les composent. Il en résulte que chaque année des deux calendriers Julien et Grégorien est répartie en deux périodes, codifiées chacune pour correspondre à l'un des sept codes utilisés pour repérer les jours d'une semaine.
Le système comprend deux tableaux contenant, l'un et l'autre, les codifications mettant en relation de manière réciproque, une année quelconque avec son calendrier détaillé. Le premier contient la codification des années, le second contient la codification des jours. Les codes de l'un correspondent avec ceux de l'autre de telle manière que d'une part, et entre autres exemples (planches (1 ) et (3)), dans la période Grégorienne, le code (P1 ) affecté au lundi 1er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1900; que celui (P2) affecté au mardi 1 er janvier correspond au code de la première partie de
l'année 1901 ; que celui (P3) affecté au mercredi 1 er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1902; que celui, (P4) affecté au jeudi 1 er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1903; que celui (P5) affecté au vendredi 1 er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1904; que celui (P6) affecté au samedi 1 er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1910; que celui (P7) affecté au dimanche 1er Janvier correspond au code de la première partie de l'année 1911 ; que d'autre part, dans la période Julienne, la correspondance des codes est telle que doivent, en autres, se correspondre le code (P1 ) du lundi 1er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1403; le code (P2) du mardi 1er janvier avec le code de la première partie de l'année 1404; le code (P3) du mercredi 1er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1410; le code (P4) du jeudi 1er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1411 ; le code (P5) du vendredi 1 er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1412; le code (P6) du samedi 1 er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1418; le code (P7) du dimanche 1er Janvier avec le code de la première partie de l'année 1419. • Le premier tableau (figure (1 ), planche 1 ) contient les codifications de l'ensemble des années du calendrier Julien de l'an 1 jusqu'à l'an 1582 (T0), année du changement de calendrier, et toutes les années du calendrier Grégorien depuis l'an 1582 jusqu'à un âge virtuellement illimité (jusqu'à la future révision de calendrier). Il est composé de douze grilles distinctes (A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L) comprenant chacune cent doubles cases respectivement représentatives de chacune des années d'un siècle. Les sept premières grilles (A, B, C, D, E, F, G) représentent les siècles du calendrier Julien, les quatre dernières (I, J, K, L), celles des années du calendrier Grégorien, la grille intermédiaire, celle du XVIe siècle (H), est composite et comprend la période de transition entre les deux calendriers. Hormis la grille du premier siècle "0000" (G), qui ne comprend pas la première double case (l'an 0 n'existe pas), les grilles du calendrier Julien (A, B, C, D, E, F, G) se reproduisent à l'identique deux fois dans le même ordre. Ainsi les grilles représentatives des sept siècles de 100 à 700 (A à G) ont des codifications respectivement identiques à celles de la période des sept siècles 800 à 1400 (A à G). Les grilles du calendrier Grégorien (I, J, K, L) se reproduisent tous les quatre cents ans à l'identique, selon le même arrangement que celui des siècles de 1600 à 1900, un nombre indéfini de fois (2000 à 2300, etc.) : (I, J, K, L). La figure (2) planche 2, montre sur les grilles (G) (H) et (I), le détail partiel de la composition de la figure (1 ). Chaque année normale est partagée en deux périodes disjointes, passant du 28 février au 1er Mars (la première, du 1er Janvier au 28 Février; la seconde, du 1 er Mars au 31 Décembre). Ces deux périodes sont
figurées par deux cases adjacentes, repérées chacune par un code graphique ou une couleur : (P5, P4); (P3, P2); (P2, P1 ); (P7, P6); (P6, P5); etc.), identique à l'un des sept codes utilisés pour identifier chacun des sept jours d'une semaine (P1 , P2, P3, P4, P5, P6, P7). Les codes d'identification (P5, P4), d'une année (M) sont obtenus par repérage des coordonnées des différents éléments qui la composent.
Chaque grille dispose d'un double système de coordonnées permettant de lire, siècle par siècle, cinq bandes horizontales contenant vingt années chacune (figures (1 ) ou (2)). Le millésime d'une date pouvant se reconstituer à l'aide de trois parties additionnées : nombre de siècles, nombre de décennies, nombre d'années unitaires, le repérage des codes d'une année (par exemple (M)=1677, figure (2)) s'effectue donc en recherchant d'abord le siècle auquel elle appartient (l)=1600, puis en repérant l'année choisie, à l'intersection des décennies (N)=70 (placées ici en ordonnées) avec les unités (Q)=07 (placées ici, en abscisses). L'année recherchée (1677) est représentée par un couple de cases, celle de gauche correspond à la période du 1er Janvier au 28 Février (P5), celle de droite à la période du 1er Mars au 31 Décembre (P4).
Dans le cas d'années bissextiles (figure (2), (R)), les deux périodes disjointes définies précédemment sont réunies en une seule, continue du 1er janvier au 31 décembre, incluant le 29 février ((P7, P7); (P4, P4)) . Dans le calendrier Julien, ces années (R) s'intercalent systématiquement tous les quatre ans. Dans le calendrier Grégorien, il en est de même, sauf pour les années séculaires dont le millésime n'est pas divisible par 400 qui ne sont pas bissextiles (exemple : 1900). La grille de transition 1500, celle du XVIe siècle (H), comprend deux parties,
(avant et après 1582). La première correspond au calendrier Julien, la seconde, au calendrier Grégorien. Ces deux parties sont séparées par l'année intermédiaire 1582 (T0), qui vit le changement de calendrier et dans laquelle dix jours ont dû être supprimés pour ajuster le temps légal avec le temps astronomique. Pour tenir compte de cette disposition exceptionnelle, la représentation de cette année 1582 comprend trois cases correspondant à trois périodes : (P1 ), (P7), (P4). La première (P1 ), correspond à la période courante du 1er Janvier au 28 Février; la seconde (P7), à celle du 1er Mars au 4 Octobre; la troisième (P4), à celle du 15 Octobre au 31 Décembre. Dix jours, du 5 au 14 Octobre inclus, n'existent pas. Cette disposition appliquée en Italie ne l'a été en France qu'avec un certain retard et cette période supprimée correspond donc à celle du 10 au 19 Décembre. Ainsi dans le calendrier français, la lecture des trois
cases se fera suivant les trois périodes du 1 er janvier au 28 Février (P1 ); du 1er Mars au 9 décembre (P7) et du 20 décembre au 31 décembre (P4).
• Le deuxième tableau (figure (3) planche 3) est le calendrier codifié complet d'une année bissextile "type" de 366 jours avec, quantième par quantième, l'ensemble des douze mois de l'année (la figure (3) montre une vue partielle de cet ensemble). Chaque quantième (U), comporte en regard de lui- même, la liste, abrégée ou non, des noms des sept jours de la semaine dans leur ordre traditionnel et, outre celle-ci, une série de chacun des sept codes distinctifs, graphiques ou colorés, identiques à ceux utilisés dans le premier tableau pour codifier l'ensemble des périodes des années des calendriers Julien et Grégorien. Chacun des noms de cette liste (Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di), est lui-même mis en correspondance, en regard ou superposé, avec l'un des sept codes distinctifs (P1 , P2, P3, P4, P5, P6, P7) placés initialement dans l'ordre requis pour correspondre correctement avec ceux du premier tableau (figure (1 )), de telle façon que lorsque deux quantièmes se suivent, l'ensemble des sept codes distinctifs du second, rangés dans le même ordre initial, se décale d'un jour dans le sens positif du temps, par rapport à l'ensemble des sept noms de jours resté fixe (V3, V4). Cette disposition a pour conséquence de faire se reproduire l'arrangement initial (noms de jour avec codifications) et ses six suivants, de manière identique à chaque période de sept jours (figure (3) planche 3 : (V1 ), (V2), (V3), (V4), (V5), (V6), (V7))
La figure (3) montre en partie fixe, le nom des jours de la semaine (Lu, Ma,
Me, Je, Ve, Sa, Di), tandis que la série de sept codes (P1 , P2, P3, P4, P5, P6, P7) se décale d'un jour à chaque quantième suivant son précédent. Le même résultat peut être obtenu de manière réciproque. Il est en effet possible, soit de décaler les codes devant les noms restés fixes; soit dans le sens inverse, de décaler les noms devant les codes restés fixes (figure (4), planche 4).
La lecture dans l'ordre, jour après jour, d'une année normale s'effectue en considérant dans la première période, jusqu'au 28 Février, les noms affectés du premier code trouvé dans le premier tableau, puis, en passant le jour du 29 Février qui n'existe que dans les années bissextiles, de poursuivre à partir du 1er mars, dans la seconde période, avec les noms affectés du deuxième code de l'année. Pour les années bissextiles qui comprennent la totalité des 366 jours du calendrier de base, les deux périodes de l'année sont adjacentes et réunies en une seule. Elles se voient par conséquent affectées d'un même symbole représentatif, sur l'ensemble de l'année.
Après avoir visualisé les deux codes qui caractérisent une année, il est possible d'appréhender une partie ou l'ensemble de celle-ci et d'y évoluer ensuite, comme dans un calendrier normal, sans ordre nécessaire, dans n'importe
quel intervalle de temps et dans n'importe quel sens. Le choix ultérieur d'effectuer la lecture d'une ou de plusieurs autres années ne nécessite, à chaque fois, qu'une reconnaissance de leurs deux codes dans le premier tableau et leur repérage dans les deux périodes du second. La mise en évidence des deux codes (P5, P4) d'une année "M"
(correspondant ici à 1677), (figure (2), planche 2), et leurs repérages respectifs dans l'une et l'autre des deux périodes auxquelles ils correspondent dans le second tableau (figure (3), planche 3), permet d'effectuer sans aucun calcul, en regard de ceux-ci, la lecture immédiate du nom et du quantième de chaque jour de cette année et par extension d'en obtenir le calendrier complet - à un jour quelconque de la première période de "M" (P5), correspondent un nom (Ve) et un quantième (U5) (ici le vendredi 26 février 1677) et de la même façon, à un jour quelconque de la seconde période (P4), correspondent un nom (Je) et un quantième (U4) (ici le jeudi 23 décembre 1677). Inversement, le repérage dans le second tableau de la codification d'un quantième affecté d'un nom déterminé, permet de retrouver dans le premier tableau, par identification de la même codification dans la période correspondante, l'ensemble des années contenant un jour de mêmes caractéristiques - il sera ainsi possible de déterminer toutes les années dont le jour de Noël tombe un lundi ((P6), figure (3)).
Selon les modes particuliers de l'invention, le premier tableau peut montrer chaque période centenaire présentant isolément son propre système de coordonnées, montrant les décennies en ordonnées et les années en abscisses (figure (5), planche 5 : (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G), (H), (I), (J), (K), (L)); dans une autre forme de présentation (figure (6), planche 6), l'ensemble des deux calendriers Julien et Grégorien du premier tableau est présenté avec le même système de coordonnées que précédemment et disposé sous une forme compacte : (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G), (H), (I), (J), (K), (L), qui lui permet de présenter un caractère universel : chaque pays ayant sa propre année de changement de calendrier (TO), (T2), (T3), etc., les années de transition sont placées en marge du tableau central avec à gauche l'année qui précède dans le calendrier Julien et à droite l'année qui suit dans le calendrier Grégorien; l'ensemble présenté en partie centrale étant celui correspondant au changement de calendrier de 1582 (TO), les codifications à prendre en compte, pour un pays dont le changement de calendrier a eu lieu en 1724 (T3), seront les trois périodes du changement de 1724 placées extérieurement à la grille centrale (T3), précédées dans le calendrier Julien des périodes séculaires (G) (sans l'année 0000), (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G), et encore (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G)
continuées par (A0), (B0) et le début de (CO) jusqu'à 1723 inclus; ces trois périodes de 1724 (T3) seront suivies dans le calendrier Grégorien de la période séculaire (J), partiellement depuis 1725 inclus, puis (K), (L) et ainsi de suite en répétant après et perpétuellement, les périodes séculaires (I), (J), (K) et (L); on procédera de manière identique pour toute autre année, comme pour retrouver les codes des périodes correspondant aux pays ayant effectué le changement de calendrier en 1584 (T2) : on considérera les périodes séculaires (G) (sans 0000), (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G), (A), (B), (C), (D), (E), (F), (G), et (A0) jusqu'à 1583 inclus, puis les trois périodes de l'année 1584, et ensuite la période séculaire (H) depuis 1585, suivie de (I), (J), (K), (L) et ainsi de suite, ces quatre périodes se répétant perpétuellement.
Selon d'autres modes particuliers de présentation, le premier tableau peut ne présenter que partiellement, l'un ou l'autre des deux calendriers Julien et Grégorien; son système de coordonnées peut être inversé et présenter les années en ordonnées et les décennies en abscisses; les deux tableaux peuvent être réunis en un seul ensemble pouvant être positionné sur tout support horizontal ou vertical et permettant leur visualisation globale; la liste des sept jours de la semaine du second tableau (figure (7), planche 7), chaque jour étant respectivement affecté de sa codification initiale, peut être présentée en regard de la suite des quantièmes, dans un ordre différent de l'ordre traditionnel et faire correspondre au premier jour de l'année de base, une répartition ne commençant pas nécessairement par un "lundi"; le second tableau peut être fractionné de manière à pouvoir présenter, un par un, ou par groupes, les douze mois de l'année sur des tableaux différents; dans ce cas le calendrier peut être constitué d'un "cahier" de tableaux (figure (8), planche 7) formé d'un volet contenant intérieurement le premier tableau rabattable perpendiculairement sur un cahier de volets contenant le second tableau selon le nombre de sections envisagé, de façon à permettre une visualisation simultanée; le second tableau est fractionné (figure (9), planche 7), de manière à pouvoir présenter, un par un, quantième par quantième, l'ensemble des jours de l'année sur des supports séparés, adossés ou non - page par page ou feuille par feuille - Selon un autre mode de réalisation (figure (10), planche 8), le système se caractérise en ce que les noms des jours sont placés semaines après semaines du Lundi au Dimanche, en ligne horizontale continue. Un à un, chacun des sept codes (P1 , P2, P3, P4, P5, P6, P7) disposé en bande continue horizontale, est affecté à chaque quantième de l'année type de 366 jours, du 1 er janvier au 31 décembre. Les sept bandes de codes, chacune superposée à l'ensemble des quantièmes de l'année, sont placées les unes au-dessous des autres, dans l'ordre requis, en se décalant d'un
jour à chaque superposition (X). Les noms des jours de la semaine sont placés en bande continue dans l'ordre traditionnel (Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di). Comme dans le tableau de la figure (3) planche 3, le premier quantième de la première bande codée (1 er janvier), est mis en correspondance avec le lundi, le second au mardi et ainsi de suite, tout au long de l'année type (W). Pour faciliter la lecture, l'ensemble continu formé par la plus haute des sept bandes, est divisé en séquences de sept jours, correspondant à des pseudo-semaines. L'ensemble, étant donné le décalage des sept bandes et le nombre total des jours de l'année, compte par conséquent 54 séquences de sept jours. La lecture s'effectue comme précédemment, d'abord par l'identification dans le premier tableau, des codes de repérage d'une année choisie puis, par lecture dans le second tableau des bandes correspondant à l'un, puis à l'autre symbole. Le détail des jours de l'année s'établit en effectuant la lecture simultanée des quantièmes contenus sur ces bandes en correspondance avec celle de la liste continue des noms de jours (Z). Dans un autre mode de réalisation (figure (11 ), planche 9), variante de celui de la figure (4) planche 4, les sept premières bandes de codes répétitives ((V1 ), (V2), (V3), (V4), (V5), (V6), (V7)) sont placées chacune devant l'ensemble des quantièmes affectés des mêmes codifications. Les quantièmes sont regroupés par mois, repérés par des fonds différents. L'ensemble des mois peut être fractionné sur un tableau ou disposé sur une même bande horizontale et replié en accordéon pour constituer un calendrier de poche (figure (12), planche 9).
L'invention, outre les calendriers, les almanachs ou les éphémérides rend possible la création d'agendas journaliers perpétuels pouvant être consultés en temps réel, de manière continue ou séquentielle, dans l'ordre chronologique ou dans un ordre indifférent pendant un nombre indéfini d'années. Ceux-ci peuvent contenir, page par page, afférents à chaque date, des renseignements préexistants concernant des événements à caractère historique ou n'être constitués que de supports vierges qui pourront être renseignés dans le futur par des informations d'ordre personnel, collectées jour après jour, sur plusieurs années, à la manière d'un journal. La durée d'utilisation de l'agenda n'est pas limitée dans le temps sauf au rapport existant entre l'espace alloué et la quantité de renseignements à y inclure. L'invention qui permet, à quelque niveau que ce soit du mode Grégorien d'effectuer la lecture des jours d'une année dans le mode Julien, peut de surcroît, par lecture simultanée de leurs codes respectifs, dans les deux tableaux, servir à établir rapidement la conversion de l'ensemble des dates d'une époque restée dans le calendrier Julien (par exemple le calendrier orthodoxe), dans celui du calendrier Grégorien et réciproquement.
Légende de la figure 6/9