DISPOSITIF DE REGLAGE DE LUMINOSITE DE LEDS
La présente invention concerne les leds, appelées aussi DEL, ce qui signifie en anglais device électro-luminescent, terme aussi répandu que celui de « transistor ».
Le domaine technique selon l'invention, est celui de l'optoélectronique, avec ses différents systèmes de réglage ou commande, pour la mise en service de ses montages
On sait que la technique depuis les années 60, date de création des semi-conducteurs à émission lumineuse sous tension, se borne à utiliser et exploiter ces leds sous une tension fixe généralement aux alentours de 1.8 V unitaire avec des sources à courant constant, avec transistor, ampli opérationnel, circuit intégré, microcontrôleur, etc.
Quoique les leds soient des diodes, elles n'en sont pas moins fragiles pour la plupart d'entrés elles, notamment du fait du substrat présentant des difficultés très particulières pour des compositions constantes, supportant peu la tension inverse.. Les montages jusqu'à ce jour, sont des montages ponctuels qui ne mettent pas assez en valeur ce composant, cet ensemble électronique de base, ils en limitent son emploi, lequel reste alors figé comme par exemple à des enseignes lumineuses ou des tableaux à défilement, et dont la luminance fixe, continuelle, est réglée à un niveau dit faible mais optimum, donc rigide et immuable.
Le dispositif de réglage selon l'invention, vise à remédier à cet état de l'art, et se définit comme la solution technique apportée à un problème technique, et qui est de donner un caractère variable, non linéaire, par un réglage en continu de la luminosité, réglage de type analogique, enfin appliqué à ce composant de base de l'électronique.
L'invention consiste en un montage série de plusieurs leds (7), et procurant à l'aide d'un régulateur (1) de tension, d'un potentiomètre (8) et d'un montage résistif particulier, ayant le caractère variable d'une tension compatible avec la plage de luminance des leds. L'invention consiste en un montage de plusieurs leds, précisément 5 leds en série, et multiples, en assurant leur tension de fonctionnement à l'aide du régulateur de tension ajustable LM 317 T , d'un potentiomètre 4,7 Kilo ohms, ici du type Pl 60BM propre et selon l'invention, ou autre linéaire, et procurant une variation continue et linéaire de la tension d'alimentation du circuit pour les leds placées série.
Pour affiner le réglage de la luminance, donc de la tension utile nécessaire, et avec également la consommation, on placera d'autres éléments, de type purement résistif et faisant partie intégrale de l'invention, et qui consistent en un montage particulier de résistances, ici de type cms, voir dans certains cas, carbones, ou ajustables, disposées de la manière suivante sur la gâchette de commande du régulateur, pour 1/ et 2/
1 / Résistance parallèle (Rl) avec le potentiomètre pour allonger, améliorer sa course d'utilisation sur la totalité de ses 270 degrés de rotation, de valeur, entre 1 et 10 K , selon l'invention 2,4 Kilo ohms environ, donnant au potentiomètre de 4.7 K, une nouvelle valeur d'environ 1.6 Kilo ohms , placé série sur la gâchette
2 / Résistance chutrice (R2) ou résistance basse, de réglage de 0.1 à 5 Kilo ohms de début de luminance, selon l'invention, 1.2 Kilo ohms environ, dont le rôle est d'assurer
une tension stable, comprise entre 7.5 et 8.5 volts, dés la mise sous tension du circuit, nécessaire au début de luminance ou d'allumage des leds, placé série gâchette, avant le potentiomètre. La valeur de tension basse est ajustée par la résistance R2, ceci pour éliminer la course inutile du potentiomètre
3 / Résistance chutrice (R3) ou résistance haute, de réglage, d'ajustement de tension (positif)de sortie, vers circuit à leds, de valeur 0.1 à 50 ohms, entre 3 et 15 ohms selon l'invention (si forte puissance, alors R3 divisionnaires montées série) placée en sortie de régulateur. La valeur de la tension haute est ajustée par une résistance R3 unitaire ou composée.
La résistance de 240 ohms (R4) est propre au fondeur pour le montage du régulateur LM 317 T., elle est obligatoire, non concerné par l'invention. La résistance définie en 1/, en même temps que d'allonger la course du Potentiomètre doit amener à une tension maximale de sortie pour circuit d'application à leds , entre 12 à 12,5 V, différence de potentiel entre la base négative ou masse, et le positif, ceci pour limiter le courant de sortie.
Ce courant pouvant varier de 150 à 850 milli ampère, et voire plus, selon les leds employées et leurs quantité mise en oeuvre, avec des risques inhérents de surchauffe, de dérive, d'emballement thermique, destruction des leds et des éléments connexes tels que support, revêtements, doit être contenu par le contrôle de la tension de sortie..
La résistance définie en 11, ou résistance basse, joue en début de potentiomètre, lorsque la valeur de celui-ci est à zéro, pour ajuster la tension de démarrage, ou début du processus de réglage de luminance, vers 7.5 à 8.5 volts, leds éteintes. Si cette résistance est utilisée pour diminuer et arrêter la luminosité vers les 7.5 à 8.5 volts, et éliminer toute tension inférieure inutile, elle détermine donc le point de départ et la course utile, pratique du curseur sur les 270 degrés de piste carbone du potentiomètre.
La résistance définie en 3/, ou résistance haute, joue en fin de réglage de luminance des leds, fixé entre 11 et 13 volts, selon les leds employées, leurs quantités.
Quoique n'étant pas placé sur la gâchette, la valeur de cette résistance est incluse dans la tension de sortie du début à la fin du processus de réglage lumineux. Lorsque la tension est à son maximum sur le circuit à leds, soit entre 11 etl3 volts, la résistance R3 indépendante des deux autres, ajuste cette tension maximum.
Les résistances telles définies de 1/ à 4/ selon l'invention, sont des CMS, donc montés coté circuit cuivre, pistes telles déterminées et délimitées sur le circuit.
Le dispositif selon l'invention se compose d'un circuit imprimé (16) muni dans sa partie haute, selon l'axes x/x' et en son centre d'un LM317T dont l'arrière est jointif, et dans le même plan (17) arrière que le circuit. Lequel régulateur est soudé ou monté à cheval ou en pont, au dessus de la piste transversale (2) , ceci pour diminuer des complication des pistes traversantes avec cavaliers, et dont les pattes 2.3.4 sont soudées aux points B.C.D.
La piste transversale vue circuit de face, comporte en ses extrémités, à gauche 1 résistance CMS de 240 ohms, à droite 1 résistance CMS de 1 à 150 ohms, et selon précisément l'invention de 6.8 ohms
La section B qui reçoit la résistance de 240 ohms, reçoit une résistance spéciale de 1.2 kilo ohms pour réglage tension fixe début de luminance, le potentiomètre étant à zéro ou au minimum. De part et d'autres sont disposés les amenées de courant par tracés distincts qui sont issues de la partie basse
Dans sa partie basse, des séries de 5 leds en série de 5, avec au moins une série de 5 leds, Ou 5 leds en série au moins qui démontrent la validité du réglage , de l'invention et ses applications. Ces leds ou diodes électroluminescentes, qui sont ici disposées en série de 5, en parallèle pour le montage, ont en commun le négatif du circuit (4) lequel joue en direct avec le potentiomètre. Sur la partie droite, l'arrivée du positif (10) alimentant les leds, départ positif/négatif en série, sur 5 leds avec des plots de contact centraux (19)
L'arrivée de tension positive (5) est effectuée par un tracé parallèle, sa partie haute se terminant par une plage (20) ou serra soudée une diode (6)4007 de filtrage et transfert de tension à cheval sur la piste (10) positive d'alimentation des leds assure la conne- xion du positif et transfert l'arrivée de courant au système de réglage du circuit. (D)
La valeur électrique exploitable des diodes DEL s'établit entre 1.5 et 2.5 volts nitaire. Cette dernière valeur étant un maximum, sous tension continue, afin de pas endommager, voire détruire le substrat de silicium par claquage (fusion).
Si V min = 1.5 V , D l a n , limité à 5 D , d'où V D min ≈ 7.5 V
Si V max = 2.5 V, D l à n, limité à 5 D , d'où V D max = 12.5 V H s'agit donc de mettre en série ces diodes D , par cinq, pour obtenir un système à large balayage ( 5 volts environ) , permettant de régler, de passer de l'état éteint à l'état allumé, bridé vers 12.5 volts, en jouant sur la gâchette et la sortie du régulateur
Le système permettant d'effectuer un tel balayage est composé d'un potentiomètre modifié à l'aide d'un shunt ou résistance parallèle, afin de faire baisser sa valeur, et rendre progressive sur toute sa course de 270 degrés, l'augmentation de tension de 5 volts environ, tension exercée sur la gâchette, soit 1 volt pou 55 degrés de rotation
Si l'intérêt principal du P 160 BM unique au monde, consiste d'une part en son épaisseur ultra mince permettant de l'intégrer dans une plaque dissipatrice, et d'autre part, d'une molette venant se bloquer au niveau du capot dans une encoche prévue, assurant une parfaite dissimulation du potentiomètre, celui-ci n'en conserve pas moins un inconvénient du à sa faible disponibilité en série normalisée E3, soit les valeurs de 1,2.2,4.7 K et 10,22,47 Kilo ohms, ce qui impose le placement d'une résistance en parallèle afin d'obtenir une valeur précise, par composition, pour une échelle ou course de réglage en relation directe avec l'utilisation envisagée.
De ce fait les résistances haute et basse viennent en complément de réglage, pour aboutir dans tous les cas de montage, du passage de la position éteinte, en démarrage de course, soit entre 7.5 et 8 volts, à la position allumée 12.5 volts, en fin de course, tensions utiles sur circuit.
La résistance d'entrée est précédée dans certains cas d'une deuxième résistance d'entrée, intercalée entre le potentiomètre et le résistance d'entrée principale, d'une
valeur entre 1 et 5 K environ afin d'ajuster la tension de démarrage, ou d'attaque, au début de la course du potentiomètre, sans remettre en cause la tension délivrée maximum en fin de course, sur le dit potentiomètre, donnée fondamentale pour conserver cette tension limite dite de sécurité, prédéterminé, sur toute la plage de réglage, soit sur 270 degrés .
La véritable adaptation selon l'invention est que non seulement il faut disposer en série 5 leds, 2.5 V X 5 = 12.5 V plus la chute de tension du LM317T de 1 à 2.5 V,
Selon la charge, amène un total de plus de 13.5 Volts minimum, d'où la nécessité 0 d'utilisation d'un transformateur abaisseur, selfique ou à découpage, appelé aussi adaptateur, qui assure un débit minimal de 14 V CC avec un minimum de 600 mA milliampères en courant de sortie.
Compte tenu des chutes de tension supplémentaires des autres composants, à savoir; 5 diode de protection 4007, fusibles (14), condensateurs, et autres éléments de montage, plus ou moins facultatifs, antiparasitage, redressement coefficient résistif, ou impératifs de sécurité, tels thermostat (21) à lame Microtherm , fusible thermique (22) de sécurité complémentaire, à fusion coupe circuit, il faut utiliser au minimum un adaptateur 12 VA de 15 volts. 0
Pour plus de sécurité et puissance, on choisira une alimentation entre 18 et 24 VA avec tension de sortie égale ou supérieure à 18 volts.
On veillera à ce que la puissance dissipée dans le LM 317 à son plus fort débit, différence entre la tension entrante et sortante multiplié par le courant, n'endommage pas 5 le circuit, le dissipateur, ainsi que le revêtement et annexes, outres les règles de sécurité minimales à observer, ceci par une dissipation dispendieuse et excessive.
Le LM317 T est vissé sur un dissipateur thermique aluminium (22) de préférence. Le circuit au niveau du potentiomètre Radiohm 4.7 k est percé dans la zone isolée (9) o d'un trou de 16.5 mm, dans lequel est introduit le capot aluminium du potentiomètre, de façon que le capot traversant l'époxy du circuit laisse une forme cylindrique de 3.5 mm de hauteur sur 16.5 de diamètre à l'extérieur, sans aucun autre élément pouvant gêner ou parasiter, et émergeant de la face non cuivrée laquelle assurant son isolation est absolument rase, plane et donc dépourvue de tout objet. 5
Le plan arrière ou dos du LM317T, TO220, se trouve dans le même plan (17) que la face non cuivrée du circuit imprimé. Le potentiomètre est donc soudé à l'envers, par ses trois pattes dépliées, allongées à plat, chacune dans un secteur cuivré déterminé
Le capot du potentiomètre pénètre dans un trou prévu à cet effet dans la plaque o aluminium de 3 mm d'épaisseur et de 16.8 mm de diamètre, de sorte que l'épaisseur du potentiomètre soit totalement dissimulée, profilée dans l'épaisseur de la plaque aluminium faisant office de dissipateur et de maintient. Le potentiomètre pénètre la plaque aluminium du dissipateur sur au moins la moitié de l'épaisseur de son capot. 5 L'ensemble du montage avant arrière, est réalisé sur une plaque autoporteuse du montage. La plaque aluminium peut avoir une épaisseur inférieure à 3 mm mais alors, le capot du potentiomètre dépassera de la différence; II est prévu une petite molette D22 ou D24, dont l'embout central viendra s'emboîter dans une petite fente plastique prévu à cet effet, au centre du capot. Le potentiomètre grâce à son capot ultra plat, se profile donc dans la totalité de l'épaisseur de la plaque dissipatrice, et seul émerge du coté circuit, les trois pattes de connexion, dépliées, plan avec le circuit.
La molette une fois posée, recouvrira et cachera le potentiomètre en totalité, et du fait de sa faible épaisseur, soit 2 mm, assurera à la fois la discrétion de l'ensemble et la commodité du réglage.
5 Le circuit est percé d'un trou central à son extrémité en partie basse, (12) entre les zones d'arrivée de courant, lieux de soudure d'un cordon à 2 brins (15)
L'invention à montré que l'on pouvait connecter jusqu'à 800 séries de 5 leds, sans aucune défaillance pour une consommation de 17 Ampères CC. L'invention peut être appliquée jusqu'à plus de 100 000 séries de leds sans défaillance, ses applications sont
1° pratiquement illimitées, mais une limite apparaît en ce qui concerne la résistance interne du régulateur, et l'on utilisera dans certaines applications des régulateurs de type Low Drop.
Les applications à base de 5 leds série, cathodes au négatif, avec régulateur monté 5 selon l'invention, concerne le secteur automobile, avec élévateur de tension pour les circuits à tension d'origine basse, mais aussi l'avionique, le spatial, l'informatique, la domotique, l'éclairage, la signalisation, la décoration, l'enseigne, etc.. .
Les leds selon l'invention sont du type L53 ou L 7113 de Kingbright, toutes couleurs, 0 à faible intensité lumineuse, afin de ne pas brûler la rétine en observation fixe, notamment le rouge, variant de 2 à 8O.millicandelas, nécessaire pour éviter le danger de brûlure, de papillotement, d'éblouissement, de piquage et de frottement des yeux, avec perte momentanée ou prolongée de la vue , douleurs à la rétine, céphalées.
3 Le LM317 T peut être remplacé pour de petites applications, par le model de base tel le LM 317 LP 100 Ma
Dans des applications, à grande consommation, les modèles supérieurs sont le LM 350 T, 350 k / LT 1038 CK, pour les alimentations à fort rendement de 1.2 à 35 V de 500 Ampères et au delà 0 Le circuit peut être séparé au minimum en 2 selon l'axe x/x' ou autre schéma plus fin,
(28) pour réduire l'encombrement et l'améliorer
Le circuit peut être sous une forme longue (tel figure 3) comme éclairage tableau de bord (2) réglette de signalisation objet publicitaires, etc.
Les leds sont toujours disposées série de 5, mais avec au moins, une sortie et une ^ entrée commune
Le circuit peut comporter le LM à l'extérieur pour différentes raisons. Ce dernier sera connecté à une fiche femelle de connexion rapide à 3 broches femelles au pas de 2.54, de type informatique ou autre, et il sera monté sur un dissipateur annexe. ° Le potentiomètre peut être dans certaines applications non linéaire mais le bas de son capot coté cuivre sera toujours soudé en 2 points sur son arrière sur une piste isolé (29) prévu pour cela. Sa troisième patte est soudée sur partie neutre (30) la patte centrale étant au commun ou négatif, la première connectée par résistances à la zone commun négatif d'un coté et de l'autre zone B lieu de connexion de réglage du variateur avec la résistance du fondeur de 240 ohms .
Le montage en pont par soudure pour les trois pattes du LM 317 T (3) es un montage jointif dans le plan du circuit imprimé, lequel aune épaisseur comprise entre 2 et 16 /10, spécialement selon l'invention, ici à 8/10 de mm.
Coté piste on a donc les soudures des leds, des CMS, des pattes du LM317T, les pattes du potentiomètre renversé, des amenées de courant en bas, de la diode 4007 de transfert et connexion, plus éventuellement fusible interrupteur thermique
Coté non cuivré, on a les leds série définies plus haut, le capot du potentiomètre et dans ce plan, le plan du LM317 T sur le même plan et jointif coté cuivre sans aucun court circuit possible bien sur. La plaque aluminium (22) est un grand rectangle dont le centre évidé, laisse apparaître les leds groupées en série, pour un effet lumineux particulier. Les séries peuvent être de couleurs différentes Le montage avec potentiomètre et arrangement de résistances sur le chemin de réglage de tension de la gâchette (Adj.) du régulateur LM317T est donc entièrement analogique, résistif, et ne fait pas appel au numérique. Il n'utilise pas de contrôleur, ni de micro contrôleur, ni d'amplificateur opérationnel, et n'utilise qu'un seul régulateur par plage de tension réglable, qui est ici volontairement limité entre 11 et 13 volts, soit respectivement pour des leds haute et basse consommation. L'invention concerne un un système entièrement résistif, le régulateur étant assimilé à une résistance thermique commandée électriquement en tension, et non en courant. .
Selon la quantité et la qualité des leds utilisées, le type, par exemple à haute consommation, à fort rayonnement, la chute de tension dans le régulateur sera plus importante, avec une tension de sortie plus faible, mais un fort courant qu'il faudra éventuellement ajuster par une tension plus limitée, et appliquée sur la gâchette.
Selon l'invention, le circuit de réglage de luminosité des leds est réalisé du fait que les leds sont disposées en série de 5 , alimentées par une tension continue, à l'aide d'un régulateur de tension LM 317 T (1), d'un potentiomètre de 4.7 Kilo ohms (8) muni d'une résistance parallèle (Rl) pour une course efficace entre 7.5 et 12.5 volts sur 270 degrés, et de deux résistances chutrices, basse (R2) et haute (R3) délimitant la tension utile de service ou de réglage, ou palier de réglage déterminé et calculé. Le procédé de réglage est valable pour tous type de leds, dont les bleues et blanches, le courant limite de 1.5 A dans le régulateur étant le même que celui des adaptateurs, permet un montage jusqu'à 185 leds par régulateur
EXPLICATION FIGURES N° 1 à 4
1. figure du circuit vue de face ou dessus avec son traçage particulier de pistes et ses différents points techniques pour valider l'invention
2 figure vue en coupe d'un montage en pont du LM317T avec double pliages des pattes ou électrodes,après 4 mm, permettant de les connecter en dehors de la piste transversale de contact 3 figure représentant un autre type de montage sur une baguette ou languette de Circuit imprimé, avec des séries de 5 leds série, connectées en parallèle et en respectant et en mettant toutes les mêmes polarités ensembles
4. figure représentant l'ensemble de réglage pour des leds à part (28)
Références dessins et croquis